Vous le savez, depuis le temps que je vous en réclame et vous sollicite, que j'ai ouvert cet espace à vos mots.
Tous vos textes m'ont touchée, sans exception. Parce qu'ils parlent de vous, de moments importants de vos vies et que vous m'avez assez fait confiance pour me les confier aux fins d'être partagés.
Aujourd'hui, c'est FifiBrindosier qui nous livre ces lignes qui m'ont particulièrement émues. En la lisant, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à la chanson de Maxime Le Forestier et à ce qu'elle touche.
Les commentaires sont ouverts et je laisse la place aux mots de FifiBrindosier...
"Mon
cœur s'est arrêté lorsque FB m'a informée que c'était ton
anniversaire...
Il est con FB, il ne connait rien aux gens... S'il savait que le tien s'est arrêté pour toujours et que sous peu je n'aurai plus le même âge que toi, celui que tu auras à jamais... On ne devrait pas rattraper les gens ni en âge ni en regrets...
Alors aujourd'hui tu as 18 ans, on est tous les deux en train d'attendre le bus dans ta voiture tempérée par le frimas du matin. On chante Brel et les bourgeois en refaisant le monde et en se disant que non on ne regrettera rien on vivra tout ce que la vie aura à nous offrir... Tu es le grand frère que je n'aurai jamais.
Et le tourbillon de la vie nous emportera chacun de notre côté.
Quand on laisse des morceaux de son cœur dans des lieux ou auprès de quelqu'un, on les garde avec soi pour toujours...
Et ce petit bout de village perché sur la colline il fait partie de nous à jamais...
Aujourd'hui la brume t'aurait inspiré des poèmes à la Boris Vian, tu aurais posé trois accords dessus et nous aurions chanté...
La prochaine fois, je t'apporterai des bonbons ... »
Il est con FB, il ne connait rien aux gens... S'il savait que le tien s'est arrêté pour toujours et que sous peu je n'aurai plus le même âge que toi, celui que tu auras à jamais... On ne devrait pas rattraper les gens ni en âge ni en regrets...
Alors aujourd'hui tu as 18 ans, on est tous les deux en train d'attendre le bus dans ta voiture tempérée par le frimas du matin. On chante Brel et les bourgeois en refaisant le monde et en se disant que non on ne regrettera rien on vivra tout ce que la vie aura à nous offrir... Tu es le grand frère que je n'aurai jamais.
Et le tourbillon de la vie nous emportera chacun de notre côté.
Quand on laisse des morceaux de son cœur dans des lieux ou auprès de quelqu'un, on les garde avec soi pour toujours...
Et ce petit bout de village perché sur la colline il fait partie de nous à jamais...
Aujourd'hui la brume t'aurait inspiré des poèmes à la Boris Vian, tu aurais posé trois accords dessus et nous aurions chanté...
La prochaine fois, je t'apporterai des bonbons ... »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire